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09.05.2008
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WALL DISNEY

WALL DISNEY

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
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Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
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Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
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WALL DISNEY

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
WALL DISNEY
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Historique de Walt Disney

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
Historique de Walt Disney
Voici une photo prise à l'intérieur du parc Walt Disney Studio, "le père et le fils"... ou plutôt le créateur avec son personnage le plus célèbre à travers le monde, Mickey Mouse!!!

























Historique de Walt Disney

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
Historique de Walt Disney
WALL DISNEY


Voici une petite présentation de ce grand Monsieur, qui a eu un jour l'idée folle d'inventer l'école... ha non c'est pas celui-là!! j'me plante de type là. Nous voulions vous parler de Monsieur Walt Disney, bien sûr. Cette biographie sera complétée au fur et à mesure que nous trouverons des renseignements sur lui.


Walter Elias Disney dit Walt est né le 5 décembre 1901 à Chicago, dans l'Illinois et est décédé le 15 décembre 1966, à Los Angeles, en Californie. Il est connu comme producteur, directeur, scénariste, doubleur et animateur américain d'origine irlandaise de dessins animés. Il fonda en 1923 la société Walt Disney Company et devint petit à petit l'un des producteurs de films les plus célèbres. Walt Disney est aussi le créateur du premier « parc à thèmes », inventant le concept.

























WALL DISNEY

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
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Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
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WALL DISNEY

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
WALL DISNEY

Inventeur du dessin animé moderne et des premiers parcs d'attractions, Walt Disney créa l'industrie du divertissement. Ce grand visionnaire à l'austérité morale légendaire passa sa vie à se battre pour concrétiser ses rêves.

Que se passa-t-il vraiment au matin du 15 décembre 1966 ? A 9 h 35 ce jour-là, les médecins du Saint-Joseph Hospital de Los Angeles constatent le décès de Walt Disney. Mais ce n'est que cinq heures plus tard que les studios Walt Disney annoncent officiellement la disparition de leur fondateur. Dans l'intervalle, on apprend que le corps a été incinéré dans la plus stricte intimité. Retard dans l'annonce du décès, enlèvement précipité du corps... Il n'en faut pas plus pour alimenter une rumeur qui ne se dissipera jamais vraiment : le corps de Walt Disney a été cryogéné - congelé dans la glace - en attendant une hypothétique résurrection...

Sa mort n'est pas un événement ordinaire. En 1966, Walt Disney est l'un des hommes les plus riches du pays. Les 263.000 actions qu'il détient dans sa société valent 18 millions de dollars. Par le biais d'une entreprise familiale, Retlaw, il touche 10 % du chiffre d'affaires réalisé par ses films. Paniquée à l'idée d'un krach boursier, la famille Disney a attendu le dernier moment pour annoncer l'hospitalisation de Walt Disney. Ironie du sort: lorsque la disparition de ce dernier est enfin rendue publique, le cours de l'action grimpe de plus de 20 %.

« Mickey », « Donald », « Pinocchio », « Blanche-Neige et les Sept Nains », « Davy Crockett », « Peter Pan et le Capitaine Crochet », « Zorro »... Visionnaire génial, Walt Disney dut batailler ferme pour donner corps à ses intuitions. Paradoxalement, ses relations les plus difficiles, il les eut avec son frère Roy. Toujours en quête d'argent frais, le gestionnaire de la famille ne comprit jamais vraiment les rêves de son cadet. Lorsque, au début des années 1950, Walt Disney se mit en tête de créer un parc d'attractions en Californie - le futur Disneyland d'Anaheim -, Roy alla jusqu'à contacter les banquiers des studios pour leur interdire de prêter de l'argent à son frère. Entre Walt et Roy, les chamailleries et les brouilles - toujours suivies de réconciliations - furent incessantes.

Walt Disney fut un perpétuel insatisfait. Charmeur et paternaliste avec ses employés un jour, tyrannique le lendemain, conservateur à l'excès et pourtant capable de bousculer l'ordre établi, il se distingua dans l'univers un rien délétère d'Hollywood par une austérité morale frisant la pudibonderie. L'origine de ses traits de caractère est à rechercher dans la figure de son père, Elias. Chercheur d'or en Californie, ouvrier dans le bâtiment à Chicago, agriculteur dans le Kansas et producteur d'oranges en Floride, celui-ci connut plus d'échecs que de succès. Né en 1901, Walt hérite de ce père pétri de principes religieux un puritanisme sans concession. Avec les femmes, il restera toujours mal à l'aise. Sa vie privée en subira les conséquences. Ses relations avec Lillian, qu'il épouse en 1925, resteront difficiles. Avec le temps, les deux époux s'habitueront à vivre loin de l'autre, Walt passant la plus grande partie de ses nuits sur un canapé installé dans son bureau. Les studios Disney porteront la mar que de ce puritanisme. Dans les années 1930, le tout-Hollywood se gausse ainsi de la morale bon ton qui règne dans l'entreprise, surnommée « le monastère Mickey Mouse ». Walt Disney sanctionne le moindre déhanchement et la moindre liaison affichée entre ses collaborateurs. Aux studios, les hommes sont priés de porter chemise blanche, veste et cravate, et les femmes d'arborer jupes sombres et manches longues



























WALL DISNEY

Publié le 27/09/2008 à 12:02 par cowboy101
WALL DISNEY
WALL DISNEY
Il était une fois Walt Disney

Qui ne connaît pas les dessins animés de Walt Disney qui depuis 1937 ont abreuvés des générations d'enfants mais aussi d'adultes en donnant au dessin animé une audience universelle ?

"Parangon de la mièvrerie et du divertissement populaire pour les uns, conteur de génie pour les autres" dixit Bruno Girveau le commissaire de l'exposition, Walt Disney a contribué à donner ses lettres de noblesse au dessin animé, genre balbutiant souvent considéré comme mineur, pour l'ériger en un art à part entière capable de rivaliser avec les productions cinématographiques hollywoodiennes.

"Il était une fois Walt Disney" qui reprend la célèbre phrase introductive des contes de fées, retrace l’étonnante genèse d'une aventure artistique, devenu modèle de la culture américaine de masse, doublée d'une exceptionnelle réussite commerciale qui n'est pas sans soulever des polémiques.

Car Walt Disney a fait preuve de génie. Et à un triple titre. A la richesse iconographique européenne il a su allier le talent d'une équipe d'artistes cosmopolites pour créer des films pluri-générationnels.

En premier lieu, évident, direz-vous, mon cher docteur Watson, mais il fallait néanmoins y penser, il a compris que ce n'est pas dans la trop jeune Amérique qu'il fallait puiser mais dans la littérature et le conte européens qui constituaient le terreau commun et quasi universel tant pour l'Europe que pour les américains eux-mêmes enfants de migrants venus de cette vieille Europe, pour les transposer et en faire un produit de surcroît totalement exportable.

Clairvoyance aussi que de connaître ses limites et de savoir s'entourer d'artistes, aussi bien des peintres, des dessinateurs, des illustrateurs que des sculpteurs, formés dans des académies européennes qui maîtrisaient leur art .

Enfin, fédérer les générations en proposant des films qui intéressaient autant les enfants, cible première, que les adultes par ses références littéraires et cinématographiques.

Car il y a plusieurs niveaux de signification des contes de fées et ce qu'écrit Bruno Bettleheim dans "Psychanalyse des contes de fées", ont une fonction constructive et thérapeutique : "L'enfant a besoin d'être rassuré par l'image d'un être qui malgré son isolement est capable d'établir des relations significatives et riches en récompenses avec le monde qui l'entoure." est également applicable aujourd'hui à l'adulte.

Cela étant, l'exposition se concentre sur les longs métrages d’animation produits sous la direction personnelle de Walt Disney pendant 40 ans, de "Blanche-Neige et les Sept Nains" au "Livre de la Jungle", pour explorer les sources d’inspirations et apprécier les parts respectives de l’emprunt et de création à partir des documents préparatoires à la réalisation des films, dessins, maquettes et figurines, de l’immense fonds documentaire réuni par Walt Disney lui-même ainsi que des oeuvres d’artistes dont certains, tels Honoré Daumier, Gustave Moreau ou Gustave Doré, sont très connus.

Cela donne une exposition qui, simultanément, entraîne le spectateur vers un parcours nostalgique sur les rivages de l’enfance et une découverte ludique de l’illustration du précepte que "rien ne vient de rien" tout en l’incitant à la réflexion sur la définition et l’évolution des notions de culture et d’art.

La scénographie de l'atelier Mendini, couleurs primaires, avec une dominante de rouge et de vert, vitrines modulaires pailletées or pour présenter livres et objets, encadrements ludiques, éclairage tamisé et unidirectionnel, projections sur écrans suspendus, est conforme à l'iconographie du dessin animé destiné aux enfants et se pose en contrepoint du sujet de l'exposition qui présente, en 7 sections thématiques, livres, peintures, illustrations et objets.

Le visiteur est accueilli par Mickey et Minnie car le premier court métrage sonore d'animation de Walt Disney "Steamboat Willie" réalisé en 1928 met en scène la célébrissime souris et découvre la première équipe de Walt Disney à l'origine de cette aventure qui leur rapportera de nombreux Oscar.

Walt Disney a constitué un impressionnant fonds documentaire , notamment d'éditions du XIXe siècle et du début du XXe siècle, constitué de fables, de contes (d'Esope à Grimm, Perrault et Collodi) et aussi d'illustrations (de Grandville, Gustave Doré et de nombreux illustrateurs allemands tel Heinrich Kley).

À côté de l’iconographie des fables illustrées, Walt Disney puise également dans le cinéma, qu'il soit américain ou européen, et revisite tous les genres de la noirceur de l'expressionisme européen à l'esthétique d'opérette de la comédie hollywoodienne.

Ainsi les films populaires américains comme "Les temps modernes" de Charlie Chaplin ou "Steamboat Billy Jr" de Buster Keaton sont clairement parodiés dans les premiers courts métrages de Disney.

Pour les longs métrages, Disney s'inspire tant en la forme au fond de cinéastes allemands comme Murnau, auquel il emprunte non seulement la fameuse ombre portée ("Fantasia") mais également les thématiques telles l'opposition manichéenne du village et de la ville ("Une Nuit sur le mont Chauve") et la confrontation de l’homme avec l’immensité de la nature ("L'apprenti sorcier"), et Fritz Lang dont on retrouve de fortes similitudes avec "Métropolis" dans "Fantasia" et "Blanche-Neige et les Sept Nains" .

Pour ce dernier, il s'inspire également des comédies de George Cukor ("Roméo et Juliette") ou de la version de Roberto Castellani pour "La Belle au Bois Dormant".

Les personnages de Walt Disney évoluent dans des paysages et des décors choisis et élaborés avec grand soin qui contribuent pour beaucoup à l'atmosphère du film et auxquels une salle est consacrée.

Totalement repensés, ils s'inspirent des lieux réels et des époques diverses les plus appropriés, de la stylisation des primitifs à l'extravagance néo-gothique.

Influencé par les illustrateurs célèbres, de Gustave Doré à Beatrix Potter, Walt Disney pratique l'antropomorphisme, qu'il érige en marque de fabrique, de manière ambivalente.

Souvent bienveillant, il peut devenir totalement effrayant comme la nature humaine dont il s'inspire.

Ensuite, au fil des salles, le visiteur pourra découvrir la technique utilisée pour caractériser les personnages selon une typologie manichéenne sans ambiguïté.

Les personnages résultent souvent d'une superposition d'images. Ainsi "Blanche-Neige" est l'hybride des actrices Janet Gaynor et Shirley Temple et de figures de l'Art nouveau européen.

"Pinocchio" est inspiré par les illustrations d'Attilio Mussino et "Dumbo" et "La belle et le clochard" forcent l'antromorphisme alors que pour "Bambi", les studios Disney s'inspirent davantage de la réalité.


Pour "Alice au Pays des Merveilles" inspirée de la peinture de féerie de John Anster Fitzgerald et des "Fleurs animées" de Granville et "Peter Pan", Disney fait appel à un illustrateur inspiré David Hall.


L'univers de Dalí et sa collaboration pour "La Maison du Dr Edwards" d'Alfred Hitchcock qui constitue une source d'inspiration de studios Disney, comme avec le film "Rebecca", ne pouvaient que susciter l'intérêt de Walt Disney.

D'où le projet "Destino" inachevé de leur vivant dont certaines aquarelles sont présentées dans l'avant dernière salle.

Tout a commencé avec une souris et tout recommence avec une souris : car la figure de Mickey devenue emblématique et universelle ("Mickey n'est plus la propriété de Walt il appartient à tout le monde" de Robert Combas) constitue une source d'inspiration de l’art moderne et contemporain du Pop Art à la figuration narrative française.


La figure de Mickey est l’objet d’appropriation, de détournement, de pastiche (Rachel Laurent "Mickey Mondrian"), de réplication et Mickey finit "bouloté" par David Mach ("Mickey Matchhead") !